Bernadette
P.. f..l. .a v..h. ! L’aslive part aujourd’hui découvrir les plus grands labyrinthes naturels de France. Pas de murs, pas de portes, pas de clefs ni de gardiens, si ce n’est quelques vaches (les plus belles de France paraît-il) : ces labyrinthes sont creusés dans des champs ! Mais pour pouvoir repartir, GO et GM devront rassembler les lettres d’une phrase qui leur ouvrira les portes du parc. Par équipe, l’Aslive part en chasse des précieux indices. Les Zoulous (ouououououuuu), rejoints par Christophe P. qui a délaissé les Ziguiguis pour la compagnie de Sophie, sont les premiers à partir. Nous traversons tout d’abord une forêt bien étrange dans laquelle des talus et des arbres nous racontent des histoires à dormir debout, d’ogres bien chaussés et de princesse très fatiguée. Ils cherchent probablement à nous faire peur, mais menés d’un pas agile par Jean-Ba, nous sortons rapidement du bois sans connaître la fin de l’histoire, collectant au passage un A et un F. Nous voilà maintenant aux labyrinthes. Nous commençons par celui de maïs. L’esprit pratique de Sophie nous permet de trouver rapidement la sortie : il suffit en effet d’aller tout droit. Un autre labyrinthe s’ouvre devant nous. Au vu de la facilité déconcertante avec laquelle nous nous en sommes sorti la première fois, nous décidons plutôt… d’aller jouer. Bowling, jeu de palet, Jacky essaye un peu tout et me bat au lancer de disque. Au baby-foot géant, je décide de ne pas me laisser faire, mais je ne peux empêcher les boulets de canon de Sophie de rentrer dans les buts de mon camp… qui est aussi le sien. En chemin nous croisons une vache géante, que nous attrapons par le collet. Marilène essaye désespérément de monter dessus pour un tour de rodéo, mais sans succès. Il faut se faire une raison : la vache est trop molle pour Marilène… C’est lorsque nous retrouvons les autres pour le goûter que nous réalisons… que nous avons oublié de chercher les lettres ! Heureusement, Cyril est là pour nous aider : avec Jacky et Sophie, aidés de quelques maigres indices, ils trouvent la phrase mystère (que vous nous laissons deviner avec les indices contenus dans le titre). Si je ne l’ai pas trouvée moi-même, c’est que j’étais trop occupé à tourner en rond avec Mélanie sur des skis en tandem, métaphore improbable de notre bonheur marital futur. Aurélien
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